(votation finales)
En préambule, je déclare mes intérêts : je ne suis pas membre d’un organe de caisse maladie.
La hausse des franchises est injuste envers les personnes malades. De plus, elle charge inutilement les ménages de la classe moyenne, déjà confrontées à la répartition inéquitable des primes.
Si ce projet que le PS a toujours combattu passe la rampe, nous le combattrons par référendum. Nous l’avons annoncé il y a trois semaines, et ce référendum est passe de devenir un des plus simple de l’histoire, puisqu’il semble que nous nous épargnerons la récolte de signature.
Si projet est refusé aujourd’hui, nous considérerons que ce refus est définitif. Je me permets de le préciser, parce que le discours des nouveaux opposants n’est pas très clair… Entre les lignes, j’ai cru comprendre que l’UDC voulait surtout éviter le débat sur la hause des franchises avant les élections, pour reprendre ensuite l’idée en la cachant dans un gros paquet. Si vous me passez l’expression, l’UDC semble avoir lancé l’opération secrète « Dedans le terrain ».
Je dois donc préciser que nous combattrons cette idée, maintenant ou plus tard.
Liebe Kollegen
Gute Politik Bedarf Redlichkeit und ich habe, ehrlich gesagt, Verständnis für den Ärger der FDP-Fraktion. Natürlich nicht inhaltlich, sondern vom Vorgehen her.
Die SVP hat Jahrelang in den Hinterzimmer alles in Bewegung gesetzt, um die Franchise zu erhöhen. Noch vor zwei Wochen ging ihr diese Vorlage nicht weit und schnell genug, und sie wollte per Kommissionmotion eine sofortige Erhöhung der Franchisen auf fr. 500.- bewirken.
Nun hat die SVP wegen der Blossen Ankündigung des SP-Referendums kalte Füsse bekommen, oder besser gesagt tiefgefrorene Füsse, und will das fertigberatene Projekt abschiessen.
Dass Herr SVP-Fraktionspräsident Aeschi manchmal auf die KVG-Initialdebatte vor 25 Jahren verweist, ist ein plumper Versuch, den eigenen Slalom und die eigene Rückzieherpolitik hinter den Rauchvorhang von Nebelpetarden zu verstecken.
Lange Rede kurzer Sinn: Mit Freunden wie der SVP braucht die FDP gar keine Feinde…
Andererseits muss ich nüchtern feststellen, dass halt die FDP als Juniorpartner der SVP einen hohen Preis für diese Abhängigkeit bezahlt.
In der Sache freuen uns diese Zirkusreifen Kapriolen sehr. Aber seien wir ehrlich, diese Kehrtwende sechs Monaten vor den Wahlen ist schlicht billig und nichts anders als ein Tiefpunkt parlamentarischer Arbeit!